Quête de sens



En 2022, après la mort de ma petite sœur, je voulais juste aller bien.

Aujourd’hui, je veux juste rester moi.

Et tout a changé le jour où j’ai fait un truc radical :

=> un trek solo de 100 km autour de l’île d’Oléron.

Sans gosse.

sans mari.

Juste moi.

J’ai marché, j’ai croisé du monde sur le chemin, j'ai écouté, j’ai partagé.

Et malgré moi, j’ai inspiré.

Je croyais que se sentir à côté de ses pompes était normal ?

Qu'un matin, on se réveille infecté : 

  • pas de jus 

  • pas d'envie

  • vidée

c'est faux 

92 % des nanas avec qui j'échange au quotidien avaient tout comme moi, ignorer les alarmes.

C'est comme si un voyant le tableau de bord de ta voiture clignote. Mais tu décides de couper le fil pour ne plus le voir.

Encore faut-il savoir ce que provoque vraiment cette perte de sens.

Et si on préfére détourner les yeux, avec un ça va passer.

Non. Ça empire!

On t’a vendu l’idée du bonheur.

Pire : on t’a foutu la pression d’être heureuse.

Sois épanouie.

Sois accomplie.

Sois libre.

Sois parfaite.

Et souris, bordel. Même le chien le fait dans les pubs.

Le véritable poison ?

c’est pas l’absence de bonheur.

C’est la chasse au bonheur.

C’est cette putain de quête permanente

qui te pousse à te regarder, encore et encore,

à guetter ton ressenti,

à scruter tes humeurs comme un trader ses chiffres rouges.

Tu veux être mieux,

Tu veux être bien,

et à force de tourner en boucle sur toi-même…

tu t’éteins.

Tu veux rallumer ta lumière ?

Sors !

Regarde ailleurs. Oublie-toi.

Tourne-toi vers un autre. Soulage-le.

Contribue. Aide. Transmets.

Pas parce que t’es une sainte.

Mais parce que la vie passe à travers toi,

pas vers toi.

Moi aussi j’ai connu ces jours down.

Tu sais, ceux où tout est lourd et sans goût ?

J’ai trouvé un truc qui marche à tous les coups :

Tendre la main à plus mal que moi.

Ça me sauve.

Et ça me rappelle une chose que tu as oubliée :

Tu n’es pas le centre du monde.

Et c’est tant mieux.

Mais t’as pas envie d’entendre ça...

Parce que t’as construit ton mal-être comme un bunker :

  • Tu te dis “je suis surmenée”, mais t’aimes ça.

  • Tu veux tout contrôler, mais tu n’oses pas avouer ta peur de te foutre la paix.

  • Tu poursuis des objectifs qui ne sont même pas les tiens.

  • Tu râles, tu coches, tu t’agites…

Mais au fond, tu te caches.

T’as tellement peur de tomber face à toi-même

que tu préfères t’épuiser à rester occupée 10 heures par jours.

Et pendant ce temps, tu t’intoxiques.

Au stress chronique.

À la solitude masquée.

À l’inaction qui s’agite.

T’appelles ça la “vie de solopreneuse”.

Moi j’appelle ça une lente agonie.

Tu veux renverser la vapeur ?

Commence par regarder en face la pire des vérités :

Ce n’est pas “comme ça”.

C’est toi qui choisis. Chaque jour :

  • Choisis de dire que t’es débordée.

  • Choisis de penser que t’es pas assez.

  • Choisis de croire que tu peux pas déléguer.

  • Choisis de survivre plutôt que d’exister.

Et tant que tu racontes ces histoires-là,

tu nourris ta prison.

Moi aussi je suis tombée dans le panneau.

Et j’y retombe encore parfois.

Mais aujourd’hui je sais.

Le problème, c’est jamais toi.

Le problème, c’est ce que tu crois être vrai.

  • T’es pas malheureuse : t’es déconnectée de tes valeurs profondes.

  • T’as pas trop à faire : t’as pas trouvé tes tâches impactes.

  • T’es pas nulle : t’es enfermée dans un environnement toxique.

Tu veux changer ta vie ?

Change ton système.

Et parfois, ça commence par une claque.

Ou un regard extérieur qui voit ce que toi tu refuses de voir.

 

=> J’ouvre quelques audits express :

45 minutes. C’est tout.

Mais on va pas perdre une minute.

  • On identifie ce qui a coupé ton jus.

  • On fixe tes 3 priorités vitales pour relancer ton été.

  • Et on prépare une rentrée qui sert ta vraie vie. Pas celle des autres.

Si tu sens que ça te parle,

Envoie-moi, un message ici : https://bit.ly/45qFyki

Trouver son pourquoi, c’est flippant. Parce que ça veut dire mettre ses tripes sur la table. Mais c’est aussi devenir acteur de sa vie. Mais c’est aussi éviter les regrets quand son heure sera venue

J’ai fait mon choix. La vie y est tellement belle.

Bisous chez toi

Carine